
La représentation de Kamasutra Parkinson Blues d'hier soir était la première à proprement parler du cycle Nicolas F. Vargas que nous avons débuté à l'automne dernier. Bien sûr, l'esquisse passée au Théâtre Femina (Bordeaux) en février dernier a été l'occasion de tester la pièce, le jeu, la mise en scène. Pour autant nous appréhendions un peu cette soirée puisque l'organisation de trois pièces en parallèle ne va pas sans poser quelques difficultés d'organisation (communication notamment mais surtout répétitions sans oublier les "autres" rendez-vous liés aux décors, aux exercices divers qui font la vie associative et la vie de la Troupe !!).
Quoiqu'il en soit, nous avons eu beaucoup de plaisir à jouer, à rencontrer un public bienveillant pour cette première (nous l'en remercions très chaleureusement !). Nous sommes bien sûr conscient du chemin qui nous reste à parcourrir. Celui qui permettra, avec le temps, de mieux appréhender les textes, les personnages de Nicolas à qui nous consacrons le Cycle 2007-2008.
Notre plaisir vient surtout du fait que le public semble avoir apprécié ce moment, le texte qui a fait rire parfois tout en poussant le spectateur à reformer progressivement le puzzle du film, du scénario,... ou de la pièce ?!
Quelques remarques techniques aussi sur le jeu, l'appréciation des séquences vidéos, du son,... dont nous prendrons bien sûr compte à l'avenir.
Quoiqu'il en soit, nous avons eu beaucoup de plaisir à jouer, à rencontrer un public bienveillant pour cette première (nous l'en remercions très chaleureusement !). Nous sommes bien sûr conscient du chemin qui nous reste à parcourrir. Celui qui permettra, avec le temps, de mieux appréhender les textes, les personnages de Nicolas à qui nous consacrons le Cycle 2007-2008.
Notre plaisir vient surtout du fait que le public semble avoir apprécié ce moment, le texte qui a fait rire parfois tout en poussant le spectateur à reformer progressivement le puzzle du film, du scénario,... ou de la pièce ?!

Quelques remarques techniques aussi sur le jeu, l'appréciation des séquences vidéos, du son,... dont nous prendrons bien sûr compte à l'avenir.
Nous remercions vivement Rosa Palomino, notre metteur en scène, pour sa présence et son rôle toujours aussi précieux parmi nous ! Et enfin ceux qui nous ont aidé pour la préparation Technicque Jeff et Léo (vidéo, éclairages,...)
2 commentaires:
C' est toute la question de l' évaluation des spectacles que je pose en répondant à ce message. Comment évaluer ? Qui a les outils nécessaires ? Quels sont les critères ? Un artiste qui fait lui même des mises en scène a t-il la légitimité de se juger ? Ou faut -il être comédien pour avoir le droit de prendre la parole.
Bon en tous cas, j'écris très brièvement ce que j'ai pu ressentir le soir de cette représentation.
Je n'ai pas pu assister aux premier 1/4 d'heure qui correspond à la présentation des comédiens.*
J'ai aimé de suite le silence respectueux des spectateurs pris immédiatement dans "une "histoire "d'un" quotidien (qui peut durer longtemps).
Le théâtre n'est intéressant que s'il sert de tremplin à l'imaginaire, et là, ça fonctionne bien; la pièce devient une parabole sur l'avenir de notre condition, de notre société, de la terre, qui telle un R. Zucco en liberté, fonce droit à sa perte.
Les comédiens ont été sobres, et dignes. C'est bon et agréable. Le texte et leur jeu font de cette pièce un théâtre qui fait réfléchir.
Pascal C
* A cause d'un Texan retardataire!
Il semble que vous soyez un expert dans ce domaine, vos remarques sont tres interessantes, merci.
- Daniel
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